Le cri de l'âme
- pj84432
- 18 nov.
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L’enfant pleure afin d’attirer l’attention et gagner, souvent, face à son besoin et son égoïsme reçus en héritage. Il y a aussi ce cri de la peur engendré par le destin ou l’ignorance face à l’inconnu. Il est possible qu’il vienne du mal suite à une blessure de la guerre ou simplement dû au destin, encore.
Faisant écho au bonheur se trouve le cri de joie. Il y a aussi celui de l’amour par ces nuits de noce torride et ce rêve impossible à réaliser ou on peut entendre ce cri de joie.
À travers le temps qui passe comme un voleur, se trouve celui de la solitude dans un mal intérieur, ce cri sans voix. Dans cette conscience de tous ces cris et des grandes faiblesses des hommes où le mal gagne trop souvent, il y a l’espoir faisant ce voyage avec nous malgré ces questions sans réponses. Et que dire du cri de liberté face à une dictature ou l’injustice de sa conscience. On peut aussi trébucher dans une souffrance si profonde qu’un cri peut venir de l’âme dans cet encre noire où nos larmes engendrées de désespoir dans ce temps figé.
Ce cri de l’âme ouvre la conscience de la vérité, car malgré sa force on y voyage loin de tous les Dieux à la découverte de cet équilibre où se trouve le bonheur. Peut-être que ce cri donne naissance à une vie nouvelle, où l’espoir ce cri unique à l’homme, ressemble à un rêve d’enfant. C’est ce cri du bonheur du retour.



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